« On ne peut pas protéger une espèce sans protéger son habitat. Et c'est là où le bât blesse. Québec s'est donné deux ans pour déterminer quels milieux humides devaient être protégés. Pendant ce temps, les promoteurs font la pluie et le beau temps. » Karel Mayand, directeur général pour le Québec de la Fondation David Suzuki, dénonce le choix politique du gouvernement québécois de privilégier la construction immobilière par rapport à la protection de l'environnement. Lire la suite...